• quelqu'un  m a demandé d'écrire, un truc, n'importe quoi , juste écrire, ca fait plaisir... mais je ne sais quoi écrire...

    Alors j'écris ceci  :

    Je croyais savoir mais je ne sais plus

    Je pensais pouvoir, mais je n' en peux plus 

    Je voulais croire, mais je n'y crois plus

    Je désirais ne pas choir, mais j'ai "chu"  

    Je rêva  regagner, mais je ne gagne plus

    J'ai même voulu écrire , pour le dire , mais je n'écris plus ... ou presque ! 

    K;t 

     


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  • Dépassement de soi, résistance et mental d'acier, pour beaucoup l’effort extrême et la résistance à la douleur, est personnifié par le grand sportif d’endurance , le coureur, le marathonien, le grimpeur, boxeur ou coureur de vélo professionnel qui va jusqu'au bout de sa résistance, afin d'atteindre son but et de se dépasser constamment.

    Or en vérité, le palmarès de l'effort ne revient pas au sportif , mais au malade chronique. Car si le sportif donne tout ce qu'il a et plus encore, il le donne sur un temps donné et pour un but glorieux. Il sait que son effort tout extrême qu'il soit , prendra fin plus ou moins rapidement et qu’après viendra le temps du repos et qu'au final, il aura souffert mais se sera amélioré, renforcé, dépassé.

    Mais le malade chronique, lui son effort et sa douleur ne prend jamais fin.

    Nul repos , nulle terre promise, nulle arrivée synonyme de fin de souffrance ou de réussite et nulle amélioration ou dépassement de soi non plus . Pour lui il n'y a pas de ligne d'arrivé, son effort ne prendra jamais fin, sinon avec la mort, et sa résistance ne fera que se tarir au fil du temps. Son combat à lui, ne sera pas auréolé de médaille ou de reconnaissance, Son dépassement de soi ne sera glorifié que par le simple fait de survivre et de souffrir un jour de plus.

    Le vrai champion , le vrai battant, ce n'est pas celui qui se dépasse pour un temps limité et pour un but glorieux, mais celui qui se dépasse à chaque instant, tous les jours et pour aucune gloire

    Le malade chronique est comme le prisonnier qui prend perpette. Il sait que son enfer ne prendra jamais fin, que son effort, sa souffrance, son dépassement l'accompagnera jusqu'à la tombe...

    Le plus grand des champions n'est rien face au plus petit des malades chroniques....La maladie chronique est l'enfer

    Je le sais, car j'ai connu les deux ....

    k;t


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  • Bon, je vais foutre le camp, de toute façon qui s'en souci? 

     


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  • Pourquoi donc putain d bordel de merde, je ne peux pas être heureux?  

    Heureux?!! Que dis-je ! j 'en demande trop,  non juste du bien être ...

    Bien être? Que dis-je ! Impossible dans mon état physique .... 

    Alors juste content ? !  Oui mais de quoi ? 

    De moi? Non quelle blague ... De ce que j'ai accompli? Franchement ya pas de quoi ... De ce que je possède? Rien n'est acquis pour toujours ... De ce que je pense? Je ferais souvent mieux de ne pas penser, alors de ce que je suis? Mais je ne suis rien....où plutôt si , un charivari sans nom...

    Non, il ne me reste plus qu'à être heureux, pour rien, comme ça ,juste pour l'être ..Parce que ça fait du bien ! Car finalement c'est le seul vrai bonheur .

     Mais ça, je ne sais pas .

    K;t  

     


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