• troisième cas.

    Une fois qu'on a touché "le fond" dans l'océan de l'existence, de deux choses l'une:

    Soit on finit par remonter, soit on y reste et on y meurt.

    Dans les deux cas, la "sortie" n'est pas loin. 

    La situation se corse quand on ne fait que remonter et redescendre , toujours entre deux, ballotté entre surface et abysse, au grès des courants, tel une planche de naufrage.

    Alors à moins d'avoir une énorme capacité d’apnée, une espérance sans borne, et une endurance no-limite, la vie se transforme en survie, puis en non-vie, et finit par ressembler à l'enfer.

    Alors on  maudit Poséidon, et on implore Hadès, sous le regard amusé de Zeus. 

    K;t 


  • Commentaires

    1
    Vendredi 27 Février 2015 à 04:57

    D'une certaine façon j'ai tjr envié ceux ou celles qui sont capables de toucher le fond. Car pour toucher le fond il faut cette sorte de confiance qu'il y a un fond. Une sorte de savoir s'abandonner et se laisser tomber jusqu'au fond.
    Ensuite arrive tjr une solution, comme tu dis.
    Moi j'y arrive pas, pourquoi, ben parce que la peur.  La peur fait le ballotage; on reste accroché tant bien que mal, c la survie oui, et la non-vie, voilà.

     

    2
    Vendredi 27 Février 2015 à 15:54

    oui, parfaitement .... le voyage t as rendu bien plus "sage"...LOL , tu rajoute toujours des détails primordials qui complète ce que j écris, et même parfois les corrige ds le bon sens, bravo et merci.... oui il n'est pas donné à tous de se laisser couler 

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